Comment sortir de l’état de victime pour accéder enfin à une paix et un bonheur durable ?
Car, si tu te sens victime, tu n’auras pas accès au bonheur.
Sortir de l’état de victime ou le rester toute sa vie.
L’état de victime peut avoir un certain confort pour certaines personnes. Peut-être je te choque en disant cela.
Si cette phrase te marque d’une manière ou d’une autre, c’est que quelque part elle fait écho en toi.
La vérité : C’est que tu n’es pas une victime.
Je ne le pense pas.
Pas du tout
Les évènements, les situations, les expériences et les personnes autour de toi essayent peut-être de te faire croire que tu es une victime
Mais ce n’est pas vrai.
Sortir des expériences traumatisantes pour sortir de l’état de victime
Bien sûr, tu peux traverser des expériences traumatisantes, violentes ou injustes. Bien sûr tu as peut-être été frappé, violé, bafoué, trahi ou que sais-je encore.
Oui, tu as peut-être connu cela.
Et tu as à un moment donné vécu cet état de victime. Tu es tombé sous la menace ou le pouvoir de quelqu’un. Tu n’as peut-être même pas eu d’autres choix que de subir cette agression.
Mais cet état de victime doit rester temporaire.
Le but c’est de sortir de l’état de victime
Le but c’est que la violence que tu as subie ne devienne pas ton identité.
Tu as subi un préjudice. Et toi, ou quelqu’un d’autre, t’as fait, à un moment de ton histoire, te déclarer comme étant une victime.
Mais tu n’es pas une victime.
Cela ne te définit pas.
Si tu gardes ce statut toute ta vie pour te définir, alors toute ta vie, tu te verras ainsi et te montreras ainsi aux yeux du monde.
Et toute ta vie, c’est ton bourreau qui dirigera ton histoire.
Je suis Pierre ou Marie et je suis une victime.
Faire de nous des victimes fait partie du processus social pour mieux faire de nous… des victimes.
C’est-à-dire des personnes que l’on va pouvoir contrôler et manipuler.
La victime n’est pas libre.
Et le monde se construit ainsi. Tout est fait pour que tu sois prisonnier de ton histoire.
La vie est faite de mauvaises choses, mais aussi de beaucoup de belles choses. Mais la société nous montre plutôt ce qui ne tourne pas rond.
Il suffit de regarder la télévision.
Elle nous montre sans cesse des bourreaux et des victimes. Mais il suffit parfois de porter l’attention au sein même de sa propre vie pour voir un grain d’amour qui traine.
Un grain que nous devons arroser, regarder.
Nous devons lui porter attention comme le créateur le fait sur sa création.
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Laurent