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La peur de manquer en état de crise du coronavirus : deux solutions pour s’en sortir

mars 16

 mars 16

par PVQZ

La peur de manquer est un réflexe de survie

La peur de manquer en état de crise, nous y sommes avec la crise du coronavirus. Après les annonces des mesures de confinements dans plusieurs pays, la panique s’empare de certains. Les supermarchés sont pris d’assaut pour assurer les réserves au cas où.

Les réflexes de survie se mettent en marche, nous rapprochant plus de l’état animal et nous éloignant de notre humanité.

Définition du mécanisme de survie de la peur de manquer en état de crise

Lorsqu’un animal se sent menacé par un prédateur, toute son énergie part dans son corps. La priorité devient alors uniquement de se protéger, c’est-à-dire fuir, trouver un refuge ou se battre.

L’être humain est pareil et la crise du coronavirus le montre. Lorsqu’il connait la peur de manquer en état de crise, il se sent menacé, il se sépare encore plus de la vie et des autres êtres humains et seule sa survie compte. Il devient alors totalement égoïste et ne pense plus qu’a lui, à sa propre survie.

L’autre n’existe plus. La solidarité disparait, l’empathie aussi.

Toute l’énergie est dans le corps et très peu d’énergie reste dans le cerveau et encore moins dans l’esprit. Il est alors très difficile de se connecter à son soi et de prendre du recul.

C’est techniquement impossible. Le corps n’a plus assez d’énergie pour cela.

La nuance de la peur de manquer chez l’homme

Ce qui fait notre différence avec l’animal, c’est donc notre connexion consciente possible à une conscience supérieure. Mais pour cela, il faut observer. Car comme je l’ai dit, si on se laisse aller à la peur, toute notre énergie s’engouffre dedans et il est plus difficile de redevenir conscient et humain.

Ce que je veux dire, c’est que même si le corps ressent de la peur, il y a une partie de nous qui peut ne veut pas suivre cet état animal. Il faut réparer en nous cette partie plus spirituelle qui cherche à se connecter ailleurs que dans le corps.

Nous pouvons aussi comprendre des choses intellectuellement même si nous ne les ressentons pas forcément.

Ainsi, nous pouvons comprendre que de tout prendre dans un supermarché sans en laisser aux autres est une attitude égoïste qui à court terme ne sert à rien et à long terme finira pas nous desservir.

Nous pouvons analyser et faire le tri dans nos comportements et notre façon d’être et de faire. Nous avons le matériel physique, spirituel et organique pour cela. À condition de le savoir et de décider de s’en servir. De faire le choix de réfléchir à tout cela et de s’y connecter.

La peur de manquer en état de crise nous donne deux solutions possibles.

  1. Nous pouvons décider de nous centrer que sur notre personne. C’est-à-dire « le chacun pour soi ». Je pense que si nous faisons tout cela, nous sommes à l’aube d’une grande crise sanitaire, mais pas que. Mais être individuel dans ce monde, c’est se couper de tous, mais aussi d’une réalité, nous ne sommes pas seuls et nous ne pourrons à nous seuls lutter contre le covid-19.
  2. Nous pouvons aussi choisir la solidarité contre la crise du coronavirus. Le but commun, la notion d’unité. Que nous le voulions ou non, nous ne pouvons réussir à nous sortir de cette crise grandie que tous ensemble. Plus nous penserons unité, c’est à dire, je suis tout et plus nous sortirons rapidement et grandi de cette crise.

La peur de manquer en état de crise : une chance d’être plus humain

Ce qui doit arriver arrive. Que nous pensions je suis seul ou je suis le tout, nous n’échapperons pas à notre destin. La question est veux tu l’affronter seul et contre tous ou veux-tu que nous l’affrontions tous ensemble ?

J’ai fait mon choix. Dans cette crise du coronavirus, je ne dis pas que je ne ressens pas la peur. Je ne dis pas que parfois, je n’ai pas envie de me replier sur moi-même et ne penser plus qu’a moi et ma famille. Je dis juste que je reconnais que je suis conscient et que j’ai le choix de choisir où je veux aller et où je ne veux pas aller. Comment je veux y aller et comment je ne veux pas y aller.

La peur de manquer en état de crise est normale.

C’est un bon moyen de mettre à l’épreuve notre conscience.

Ce choix sera déterminant pour notre avenir à chacun. Individuellement et collectivement. Les semaines à venir seront surement difficiles pour beaucoup de personnes. Mais comme d’habitude, nous nous en sortirons.

Peut-être es-tu en crise aujourd’hui. Séparation, burn-out, violence, deuil, nous avons tous nos histoires et nos dossiers. Et tu le sais. Ce qui est important, ce n’est pas la crise. C’est ce que nous en faisons.

Une crise personnelle comme une crise sanitaire, sociale financière et politique est une création de l’être humain. Et oui. Elle est là pour nous dire que nous allons nous faire encore plus de mal. Que nous nous éloignons de la vérité, de l’amour inconditionnel ! Elle est là pour nous dire que nous nous prenons pour ce que nous ne sommes pas : des personnes seules, séparées, en danger permanent ou la vie est un combat. Cette crise du covid-19 nous dit en réalité que nous nous éloignons de nous même, de la vérité, de ce que nous sommes vraiment : l’amour, la confiance, l’unité, la joie, la compassion… et qu’il serait temps de réagir.

Rappelle-toi que tu ne vas jamais chercher à trouver comment avoir plus de haine en toi. C’est toujours du bien-être que tu cherches, c’est-à-dire un sentiment d’amour et de complétude.

Trouve aujourd’hui dans cette crise du coronavirus ou est le chemin de cela.

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Laurent Macha

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