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La souffrance et la peur ne sont pas une fin en soi

octobre 13

 octobre 13

par PVQZ

La souffrance c’est avant tout de la peur.

La peur dirige trop souvent nos existences. Nos expériences passées créent des traumatismes dans notre cerveau et nous avons tout simplement peur de revivre ces traumatismes. Ces traumatismes peuvent avoir eu lieu dans notre enfance, mais aussi dans notre jeunesse, nos premiers amours, nos premières expériences d’adultes.

Cette peur de revivre quelque chose de désagréable dirige jusqu’a nos actions, nos réactions et même nos rencontres. Ces peurs ne sont pas naturelles. La vie est faite d’insécurité et la peur est là pour nous prévenir d’un danger immédiat ou avec un potentiel très fort. Mais nous avons appris dans nos sociétés modernes à avoir peur de tout. Nos gouvernements, nos éducateurs sans cesse nous disent que le monde est dangereux et qu’il faut se méfier de tout. La peur est aussi un formidable moyen de nous contrôler, de nous faire croire n’importe quoi et de nous vendre n’importe quoi. Mais là n’est pas le propos.

Le monde à peur.

le monde a peurNotre société vit dans la peur. Est-ce justifié ? Si on prend la France comme exemple, malgré les attentats, c’est un des pays les plus surs du monde. C’est un excellent exemple pour montrer que la peur est plus fantasmatique que réelle. Bien sûr il y a un risque de mourir dans un attentat. Mais il est plus faible que de mourir en traversant la rue ou en mourant d’un cancer. La plupart de nos peurs sont inventées par notre imagination, exagérées, sublimées. Nous nous pensons victimes des autres, mais nous sommes la plupart du temps victimes de nous même, c’est-à-dire de nos pensées de peur. Elles sont des résidus de nos expériences. Notre mental est terrorisé à l’idée que quelque chose de désagréable puisse se reproduire. Mais tout un tas de choses de désagréables peuvent se produire et se reproduire dans notre vie. Ça fait partie de la vie. La vraie question, c’est que fait-on de ces choses désagréables et pas comment peut-on les éviter. Que fait-on de ces peurs qui trottent dans nos têtes. Comment abordons-nous nos peurs, nos croyances ? Qu’en faisons-nous ? Quelles importances leur donnons-nous ? Que risquons nous réellement si un évènement perçu comme dangereux arrive ? Quelle est la nature du danger ? Sa véracité ?

La peur est un voile sur l’amour

La souffrance n’est pas l’amour. Aimer ne fait pas souffrir. C’est la non-compréhension de l’amour qui fait souffrir. C’est le manque d’amour dans notre regard de la vie et du monde qui apporte malheurs et souffrances sur la terre. Nous sommes surement ici pour comprendre cela. Et comme beaucoup d’entre vous le savent, la peur est un sacré rempart à l’amour.

Ce que j’ai vu dans ma vie, c’est qu’a chaque épreuve, aussi difficile soit-elle, il y a toujours au final un cadeau. Un cadeau qui nous fait dire que pour rien au monde on ne voudrait ne pas avoir vécu ce que l’on a vécu. Parce que cela nous a permis de nous rencontrer nous-mêmes et d’être plus proches de nous même. Cela nous a permis des prises de conscience et des réalisations que nous avons souhaitées.

Sublimer la peur

sublimer la peurLorsqu’un malheur se produit (ou un évènement perçu comme malheureux), nous avons deux choix. Nous traiter comme victimes et vivre dans la peur, la tristesse, le regret et la colère.

L’autre solution est après avoir traversé la phase émotionnelle de l’évènement, d’aller au delà et de sublimer notre « malheur » pour apprendre sur nous-mêmes et en faire quelque chose de positif. Avec cette décision, vous n’aurez plus qu’à laisser la vie vous donner des éléments de compréhension et de réalisation sur ce qui vous est arrivé.

Mon expérience de la souffrance

Je me suis rendu compte que chaque épreuve, chaque événement vécu comme des malheurs et dans de grandes souffrances était là pour répondre à des demandes que j’avais faites. Des demandes profondes de réalisation, de compréhension, d’évolution de conscience. Je sais que d’écrie cela est un affront à notre mental. Mais il suffit de se poser un peu pour VOIR que tout vient de nous. Et que ce qui vient de nous et ce que nous vivons n’est que le résultat non pas de ce qui nous arrive, mais de notre perception., de notre manière d’aborder la vie et les évènements. Nous vivons le résultat de nos croyances.

Être et vivre l’amour inconditionnel.

En partant de là, la vie se goutte tout à fait différemment et la souffrance peut même se vivre comme un curseur qui fait écho en nous pour nous diriger vers ce que nous voulons réellement au plus profond de nous qui est au fond la même chose pour tout le monde : « être et vivre l’amour inconditionnel ».

 

 

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