Covid stress : Avons-nous dépassé la limite ?
Covid stress : ce que tu vas lire ici n’engage que moi. Je vais te faire une analyse en 9 points précis (peut-être de comptoir) de ce que je vois de cette crise covid-19.
Nous vivons un véritable choc collectif. C’est du jamais vu dans l’histoire en dehors des guerres.
Un monde entier d’abord confiné…
Puis masqué…
Puis contraint…
Une machine à stress à l’échelle mondiale dont il est très difficile d’échapper.
Covid ou pas covid…
Pandémie ou pas pandémie…
Là n’est pas mon propos.
Mon propos c’est…
Pourquoi, bon sang, on gère cette crise de cette manière ?
Ok il faut faire attention.
Mais je ne peux m’empêcher de remarquer que toutes les techniques de stress sont employées en même temps dans la gestion de cette crise.
Et cela au niveau mondial.
Voici 9 points qui seront à chaque fois ponctués par cette phrase :
« De la même manière, nous faisons cela dans notre mental ».
Tu comprendras pourquoi.
9 Points communs entre crise du covid et stress mental
1. En premier, il y a eu l’isolement.
Avec le confinement, nous nous sommes comme retrouvés prisonniers.
Privé de liberté.
Le fallait-il ? je ne sais pas.
Et là, n’est pas mon propos.
—> Covid mental : les emails quotidiens de Laurent Macha
Même si pour beaucoup de gens, le confinement a été salutaire…
Pour ceux qui ont réellement été bloqués et enfermés chez eux, c’est extrêmement stressant.
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Le stress la plupart du temps est dû à la croyance que nous sommes seuls et séparé du reste du monde.
2. La peur tout d’abord bien sûr.
Des chiffres en apparences alarmants.
Une scénarisation à mon sens en dehors de la réalité.
Des scénarios catastrophes.
Loin des faits. De la réalité.
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Nous créons des scénarios et n’avons aucune mesure de la réalité.
Nous n’avons pas une vue d’ensemble (comme c’est le cas dans cette crise).
Et nous racontons tout un tas d’histoire.
3. Une instabilité dans ce que l’on nous raconte et nous dit de faire
On ne sait plus à quel sein se vouer.
Un jour on te dit blanc et un autre jour, on te dit noir.
Les préconisations changent tout le temps.
Les avis changent tout le temps.
Les analyses changent tout le temps.
On ne sait plus à quoi s’accrocher et cela crée énormément de stress.
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Pas besoin d’un dessin.
Le mental n’est jamais d’accord.
Il change toujours d’avis.
Il se sait pas prendre de décisions fermes.
Il hésite toujours.
4. Un seul interlocuteur
Les médias dans cette crise sanitaire sont pratiquement nos seuls interlocuteurs.
On le voit, il y a peu d’avis divergents.
Comme une pensée commune guidée par la peur.
Une peur qui entraine un stress.
Ce même stress qui te ramène obligatoirement à la pensée commune.
La peur empêche d’avoir le recul et d’avoir d’autres points de vue.
Il y a la voix dominante et officielle.
Ceux qui expliquent autre chose que la pensée commune sont à peine écoutés.
Ils sont discrédités d’une manière ou d’une autre.
(Tu vois de qui je parle en particulier, mais ce n’est pas le seul).
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Nous ne prenons pas de recul.
Nous avons du mal à être ouverts à d’autres possibilités.
D’autres solutions.
Nous discréditons nos propres idées nouvelles par peur d’aller vers le nouveau.
5. La menace et la culpabilisation
Cela rejoint la peur, mais c’est une technique très employée en ce moment.
Et elle est très stressante.
Par exemple : si tu ne fais pas attention, tu risques de tuer tes grands-parents.
Il suffit de regarder les pubs.
Si tu ne fais pas ce que je te dis, je risque de te reconfiner.
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Nous avons peur de l’avenir et de récolter de mauvais fruits si nous ne suivons pas les règles habituelles.
De plus, le mental est le roi de la culpabilisation.
7. Le syndrome du gentil
Tu sais, c’est l’histoire du gentil et du méchant policier.
Encore un facteur de stress.
D’un côté, la catastrophe.
Et de l’autre, le sauveur, la solution.
D’un côté, la crise économique.
Et de l’autre, des milliards à la pelle.
Mais, derrière, il y a trop souvent une déception, quelque chose d’incomplet.
Cela permet en tout cas de calmer un peu le jeu et empêche la révolte.
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Nous nous organisons des moments de détente le weekend :
Apéro, sorti, parfois, des abus, etc.
Mais, le retour de bâton dès le lundi matin peut être violent…
Quand nous réalisons que nos problèmes sont toujours là.
Que nous nous sommes juste échappés du problème quelques instants.
Cette soupape nous évite de nous révolter contre notre mental et d’y faire face.
Cela ne nous permet pas de nous libérer.
Cette soupape du weekend peut nous éloigner de notre réalité.
De notre possibilité de grandir et d’être pleinement heureux.
8. La crise
Crise économique, mais aussi dégradation de notre santé.
Notre santé c’est aussi un système immunitaire renforcé.
Ce n’est pas que « lutter contre le coronavirus ».
Or, le stress, la peur et l’inquiétude face à l’avenir sont autant de facteurs qui diminuent l’efficacité de notre système immunitaire.
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Lorsque tout va mal, nous prenons moins soin de notre corps.
Nous mangeons mal ou pas.
Nous ne faisons plus de sport.
Nous nous lavons moins, etc.
9. L’incohérence, voire la bêtise
Tu l’as bien sûr remarqué.
Les autorités changent souvent d’avis.
Elles prennent aussi des décisions totalement incohérentes et contradictoires.
Le plus drôle, c’est de devoir par exemple porter le masque dans une rue déserte.
Le fait de ne pas porter de masques dans un restaurant, mais de le porter pour aller aux toilettes.
Le fait de dire un jour que le masque ne sert à rien…
Et un autre que c’est le seul rempart au virus.
Des incohérences comme cela, il y en a tous les jours.
Un vrai festival.
De la même manière, nous faisons cela dans notre mental.
Je me souviens lorsque la mère de mes enfants m’a quitté du nombre de bêtise que j’ai pu faire.
Quand je dis bêtise, je suis gentil.
Entre ce que je pouvais penser…
Ce que j’ai pu faire de stupide et d’incohérent
Comme si je devenais fou…
Plus vraiment moi-même…
Tu le vois,
Cette situation, cette folie, c’est un mental géant qui panique.
Peut-être est-ce aussi plus ou moins conscient parmi certains grands décisionnaires…
Parmi certaines personnes de pouvoir (politique, industrielle, économique…)
On ne va pas se mentir, l’heure n’est pas à gérer le stress ou la peur.
On nous conseille dans les médias de nous protéger… du virus ;
Mais on ne nous explique pas comment faire pour être en pleine forme.
Comment renforcer notre système immunitaire.
Comment gérer le stress et la peur.
Et c’est peut-être ce qui m’interroge le plus.
Car, faire cela, devrait sauver énormément de vie.
Alors, ne rentrons pas dans la peur de la peur.
Soyons juste conscients.
Mais aussi créatif et alerte.
Semons à notre échelle les graines de l’amour…
De la tranquillité, de la paix et de la santé.
Laissons-nous inspirer par la vie, par nos enfants et par la nature.
Pour t’aider sur ton chemin de libération et de quête du bonheur à travers la spiritualité et le développement personnel libre, abonne-toi à mes emails privés inspirants.
—> Un email par jour pour ton bonheur et ta liberté.
À demain pour la méditation,
Laurent Macha