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Elections 2012 : le bonheur en Politique.

février 29

 février 29

par PVQZ

Cantonales, régionales, municipales et pour 2012, la présidentielle. Pour quel résultat ?

 

C’est la crise, on est en plein dedans.

Et bientôt, il va falloir aller voter. Nos candidats se battent et se débattent essayant par tous les moyens de nous convaincre de leur bonne foi, de leurs compétences. Nous avons eu les élections cantonales, les régionales. 2011 est passé et nous sommes en 2012, année de la présidentielle. Dans quelques semaines, le résultat. Un résultat issu des urnes et parait-il démocratique.

La question que je me pose finalement en les écoutant chacun un à un c’est « pour qui roule celui-ci, pour qui roule celui-là ».

Il ne faut pas être un grand analyste politique pour voir et comprendre que les choix politiques sont tous (allez, presque tous) le résultat de tiraillement de lobbys d’un coté et de besoins de l’autre. Ce que je veux dire c’est que les choix de nos hommes politiques ne viennent pas du coeur mais de pressions diverses et variées. On essaye de contenter les uns en essayant de convaincre les autres que c’est pour leur bien. On contente les uns parce que ce sont des copains, les autres parce qu’ils peuvent nous aider à nous faire élire, d’autres encore parce qu’ils pourraient nous mettre des battons dans les roues etc,etc. On s’entoure de spécialistes qui « savent » qui sont formés dans des écoles à la pensée unique de défendre coute que coute un système dont tous sont convaincu que c’est pour le bien de tous. On part du principe que si en haut tout se passe bien, cela ne pourra qu’aller bien en bas.

Et effectivement, en haut cela se passe très bien, il n’y a jamais eu autant d’argent, mais en bas, c’est de pire en pire. Je ne cherche pas à faire l’alarmiste ni de tenir un discours de lutte des classes, j’essaye juste de faire un constat.

Ou peut nous amener un fonctionnement pareil ?

Combien de temps cela peut-il durer ? Les hommes politiques parlent d’argent, de coefficients, de chiffres. Le bonheur est uniquement assimilé à des rentrées et des sorties d’argent, des quantités, des lois, des programmes. Il ne parle jamais de bonheur, de paix, de joie, de développement personnel. etc. Au bonheur, ils répondent travail, à la paix, ils répondent la guerre, à la joie il nous amène au catastrophisme et à la culpabilité et au développement personnel il nous parle de sécurité sociale, de retraite et d’entreprises pharmaceutique.

 

Que voulons nous ? Être heureux. Le rôle du politique est de gérer la cité pour que les gens y soient bien et heureux. Combien cela coûte ? Rien du tout ou presque rien. Je ne cherche pas à dénigrer l’importance de l’état et des hommes politiques. Mais à l’heure ou on nous dit qu’il n’y a plus d’argent alors qu’il n’y en a jamais autant eu sur la planète et que nous les pays riches nous en possédons plus des trois quarts, j’ai envie de faire appel à un peu d’imagination et à la création. Bien sûr qu’il faut régler ces histoires de crises. Mais le problème, c’est l’état d’esprit dans lequel nous le faisons. Pour qui le faisons nous ? Nous agissons pour nous ou pour les autres ? Pour enrichir son prochain ou pour nous enrichir nous-mêmes ? Nous pouvons nous poser cette question pour tous nos actes personnels. Et les hommes politiques censés nous donner l’exemple devrait faire de même. Pour qui roulent t-ils ? Pour eux ? Pour leurs amis ? Pour les puissants ? Sous la contrainte ? En leur âme et conscience ? En toute liberté ? Si on veux arriver au résultat « le bonheur pour tous », il faut poser des actes en conséquences et pas des actes qui vont répondre à un besoin économique ou à une demande d’augmentation ou de baisse de tel ou tel chiffre.

 

Les hommes politiques sont graves,

sérieux, tristes, supérieurs et souvent plus inquiétés par leur égo, leur image et leur élection ou réélection. Voilà ce qu’ils nous enseignent  chaque jour.

Tout cela au lieu de s’adonner à la tache réelle de leur fonction qui a selon moi pour objectif : aider, comprendre, avoir de la compassion et aimer les autres. Voilà la première chose qu’ils pourraient nous donner à tous, un bel exemple que nous pourrions suivre.

Et tout cela ne coute pas un euros.

Laurent Dominique

http://www.adagespourlebonheur.org

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