Dans cet article, je vais vous allez apprendre comment faire vis-à-vis de vos pensées négatives et découvrir qui vous êtes en réalité.
Ne pas les nourrir ses pensées négatives, cela signifie en nourrir d’autres plus belles ?
C’est une possibilité, mais pratiquer la cela reste un pansement tu vois ?
La bonne voie, me semble-t-il, est d’avoir la bonne attitude envers nos pensées.
Qu’elles soient bonnes ou mauvaises, elles ne sont que des pensées c’est-à-dire un courant électrique dans notre cerveau.
En ayant une saine distance vis-à-vis de ces impulsions électriques, on ne leur donne pas plus d’importance que ce qu’elles sont réellement : des impulsions électriques.
Ces pensées sont donc une illusion, une interprétation, un jugement temporaire d’une situation qui n’est jamais objectif.
Nous serons d’accord qu’il n’est pas bon de s’attacher à des pensées négatives ou désagréables. Il est facile de comprendre que nous devons prendre du recul et de ne pas leur donner plus de pouvoir qu’elles n’en ont réellement.
En revanche, nous serions plus tentés de nous attacher à des pensées positives. Mais il faut se rappeler qu’une pensée est impermanente et que donc à un moment ou à un autre, elle va disparaitre ou se transformer. S’attacher à une pensée positive, trop y croire, trop être dedans, c’est prendre le risque de chuter lorsque cette pensée aura disparu. Et ce sera donc à nouveau la souffrance.
Et de toute manière, pensées positives ou pas, cela reste juste une pensée qui n’a aucun réel pouvoir.
Le secret est donc l’équanimité c’est à dire avoir la même attitude dans tous les cas à savoir une saine distance, vis-à-vis de toutes les pensées qu’elles soient positives ou négatives.
Nous assistons au défilé de nos pensées, mais nous savons que nous ne sommes pas ces pensées.
Alors qui sommes-nous ?
Sommes nous nos pensées ?
Il y a ces pensées auxquelles la plupart du temps nous nous identifions. Nous pensons « je suis nul » et nous croyons être nuls.
Et puis il y a celui qui constate ces pensées, celui qui les voit, celui qui les observe en silence, c’est à dire vous. Avant même la pensée, avant même le premier mot d’une pensée, il y a l’observateur, celui qui regarde la pensée exister.
Faites en l’expérience maintenant.
Faites-en l’expérience, faite le calme autour de vous et dite « je suis » et constatez qu’avant même cette courte phrase, avant même le « je », il y a vous, en silence, sans mot et sans pensée.
C’est là, en cet instant que vous êtes.
Comment faire lorsque lidentification passee a eu une repercution enorme sur notre champs denergie et quon se sent mal dans notre corps
Merci tres bien expliqué