Il y a des jours où on regarde le monde et on se dit :
« Mais… c’est quoi ce cirque ? »
En France, en ce moment, c’est la panique en politique.
Les uns accusent les autres.
Les leçons de morale pleuvent.
Et pourtant… ceux qui les donnent sont souvent bien loin de les appliquer.
On nous parle de responsabilité.
D’être de “bons Français”.
Mais derrière les discours, on voit bien que même ceux qui gouvernent ne tiennent pas debout.
On a longtemps cru que certaines personnes étaient « au-dessus ».
Plus compétentes.
Plus sages.
Plus capables de diriger.
Mais quand on regarde de plus près, on se rend compte que… non.
Pas vraiment.
Les plus grands dirigeants de ce monde sont, au fond, aussi vulnérables que toi et moi.
Souvent même plus.
Leurs peurs aussi.
Leurs décisions sont souvent le fruit de leurs blessures, de leurs névroses, de leur histoire personnelle.
Ce n’est pas un jugement.
C’est un constat.
Le pouvoir ne rend pas plus intelligent.
Il ne rend pas plus sage.
Il ne guérit pas l’être humain.
Au contraire… il amplifie ce qui est déjà là.
Et c’est peut-être ça qu’il faut voir aujourd’hui.
Ce monde ne sera pas sauvé par des égos surdimensionnés.
Ni par des hommes et femmes qui prétendent tout savoir.
Le monde n’a pas besoin de sauveur.
Il a besoin de conscience.
De lumière.
Et cette lumière, elle ne vient pas d’en haut.
Elle vient de l’intérieur.
De chacun de nous.
De toi.
De moi.
De ce que nous sommes… ici et maintenant.
Peu importe les discours.
Peu importe les injonctions absurdes qu’on nous balance.
Ce qui compte, c’est d’oser être qui nous sommes.
Et de le vivre pleinement.
Dans la lumière.
On ne peut pas prendre le pouvoir sur les gouvernements.
Mais on peut reprendre le pouvoir sur notre vie.
Et ça commence là.
En osant aller les rencontrer.
En découvrant qu’en réalité… il n’y a souvent rien derrière.
Juste des tensions, des pensées qui tournent en boucle… et qui finissent par s’évanouir.
Oui, parfois, j’ai peur moi aussi.
Mais quand je regarde bien, il n’y a rien de solide.
Rien de réel.
Et ça, c’est libérateur.
Alors aujourd’hui, je t’invite à regarder là où tu crois qu’il y a du danger.
Et à t’ouvrir à l’idée que peut-être… il n’y a rien.
Rien d’autre qu’un appel à vivre, à ressentir, à rayonner.
Avec le cœur,
Laurent