Me sentir bien dans mes baskets, mais aussi ma maturité psychologique, personnelle et spirituelle est en grande partie due à 3 pratiques principales.
Elles ont été presque tout le temps constantes depuis que je me suis mis sur le chemin du bonheur et de la liberté intérieure.
Je vais te donner ces trois pratiques simples pour te sentir bien.
Mais juste avant, définissons ce que j’appelle « le chemin ».
C’est un drôle de terme pas tout à fait juste en réalité.
Parce que finalement, le but ultime de ce chemin, c’est de retrouver ce qui en nous sommeille.
Ce qui est déjà là.
Donc du coup, si c’est là, il n’y a pas besoin de cheminer pour aller le chercher.
Ce qui est déjà là et que nous croyons avoir perdu.
On pourrait appeler cela « notre âme d’enfant », notre insouciance.
Ou encore, notre paix intérieure, notre liberté, notre détachement.
Et bien sûr, cette connexion à l’amour.
Mais là encore, le mot connexion est erroné.
Il n’y a pas de chemin ou de connexion à avoir.
Pourquoi ?
Parce que nous sommes déjà arrivés.
Et parce que nous sommes déjà connectés.
Nous avons juste l’illusion que nous sommes séparés du but que nous cherchons à atteindre.
De ce bonheur en apparence si lointain. De ce « sentir bien » que nous recherchons tous.
Nous avons juste l’illusion que nous sommes détachés de l’amour.
Ce qui est impossible parce que nous sommes l’amour nous-mêmes.
Ce serait comme dire « je n’existe pas » que de croire que tu n’es pas l’amour.
Que tu n’es pas déjà arrivé.
Le « chemin » consiste alors plus à découvrir ici et maintenant ce qui est déjà là.
Découvrir dans le sens « ôter la couverture », ce qui « voile », ce qui nous empêche de voir clairement et de nous sentir bien.
Ce sont en général des pensées et des émotions que nous avons enfouies en nous-mêmes qui privent de ce bonheur d’être l’amour, la vérité, la paix.
Ce chemin vers cette découverte, de plus en plus de gens le prennent.
C’est l’époque qui veut cela et c’est une très bonne nouvelle.
Ce chemin, je l’ai fait avec trois pratiques importantes.
1/ La méditation
On peut se passer de méditation sur le chemin et pour se sentir bien.
Mais ce serait vraiment se priver d’un outil puissant pour dévoiler ce qui est voilé.
2/ La lecture
Il y a aujourd’hui de nombreux livres de développement personnel et spirituel.
En général, on commence par des livres de développement personnel.
Très rapidement, ils deviennent limités.
Alors pour aller plus loin, on lit des livres sur la spiritualité.
Le premier que je peux te conseiller, c’est « le pouvoir du moment présent » de Eckart Tollé.
3/ Écrire
J’écris tous les jours. Cela m’aide énormément à me sentir bien. Pour moi, pour toi, pour rien et pour tout.
Il est évident que c’est l’écriture qui me pousse le plus loin.
Et t’écrire chaque jour est quelque chose d’extraordinaire qui m’enrichit énormément.
J’écris ce que je découvre, ce que j’ai envie de transmettre, ce que j’ai envie de me rappeler.
Parfois des textes longs, parfois juste une phrase que je veux garder pour quelques jours.
Parfois une pensée qui passe et m’inspire, quelque chose que j’entends.
Ou encore toute une théorie, un concept qui m’aident à cheminer un temps et que parfois je peux partager avec toi dans mes formations.
J’écris mon cheminement, mes doutes et mes peurs.
Je ne relis pas forcément ce que j’écris.
Mais c’est vraiment excellent pour avancer et se sentir bien.
Toutes ces techniques sont puissantes, utilisables facilement de n’importe où et partout.
L’écriture est une de mes pratiques favorites.
Parce qu’elle permet selon moi une communion unique, à la fois lente et rapide, sans confusion mentale ou presque.
Écrire permet de poser les mots, les questionnements et très souvent de trouver des réponses presque en suivant.
Je ne parle pas d’écrire des choses bien. De faire des romans. Ni même de faire quelque chose de joli.
Je te parle de t’exprimer avec tes mots, tes faiblesses, ton intimité. Tout ce qui te passe par la tête et tout ce que tu peux observer au quotidien, dans la présence.
Tout ce que tu découvres, ce que tu apprends, ce que tu aimes aussi.
Laurent Macha
