Quand il manque quelque chose, je suis malheureux
Je pense que ce que tu vas lire dans cet article, tu ne l’as jamais entendu auparavant.
Alors, lis bien.
Et dis-moi ce que cela t’évoque.
Il y a deux façons de demander quelque chose pour obtenir ce que l’on souhaite dans la vie. .
Soit je suis pleinement heureux et je vais juste ajuster ma réalité.
M’amuser avec la vie.
Soit je vais déclarer que je ne suis pas complet et que quelque chose me manque.
C’est-à-dire qu’il me manque quelque chose pour être heureux.
Si je demande une Mercedes, un amoureux(se), un voyage…
Je suis, la plupart du temps, en train de demander que le bonheur réside dans un objet.
Donc je suis en train de me définir comme quelqu’un qui n’est pas le bonheur.
Et qui dois aller le chercher dans un objet.
On pourrait appeler ça le manque.
Je crée à ce moment-là une identité de manque.
Et l’univers qui écoute en permanence la vibration que l’on choisit de suivre va créer alors encore plus de manque.
C’est pour ça que la loi d’attraction est souvent une fumisterie.
Si tu penses à une Porsche encore et encore parce que tu es en manque de Porsche…
Si tu penses à rencontrer quelqu’un en te disant que ça va te calmer, te remplir de l’amour…
À chaque fois, tu déclares le manque.
Et tu te crées encore en tant que manque.
Tu te définis ainsi en tant que personne qui « manque ».
Au lieu de chercher à l’extérieur, pose-toi d’abord la question de « comment tu souhaites te définir ».
C’est une question fondatrice pour ton bonheur et la création de ta réalité.
Comment souhaites-tu te définir ?
Créer ta réalité à partir de là.
L’erreur à ne pas faire quand il manque quelque chose
Mais attention. « désirer quelque chose » pourrait être contre-productif car en faisant cela on déclare haut et fort qu’il nous manque quelque chose.
Cela peut être assez perturbant d’entendre cela.
Parce que tu peux du coup t’en vouloir à chaque fois que tu déclares vouloir quelque chose.
Tu peux te dire : ce n’est pas bon pour moi de vouloir par exemple « rencontrer quelqu’un » parce que en faisant cela, je déclare à la vie qu’il me manque quelque chose.
Du coup, la vie va répondre à ma vibration et va me donner encore plus de manque.
Et c’est le serpent qui se mord la queue. Le cercle vicieux, on en sort pas.
Et du coup, tu souffres encore plus parce que tu te demandes comment sortir de tout ça.
Alors, si tu veux bien, voyons les choses autrement.
Ce sera plus simple.
Quand il manque quelque chose, on veut plus. Il faut bien comprendre que c’est tout à fait normal de vouloir plus.
De vouloir l’abondance.
Pourquoi ?
Parce que tu es toi même infini, complet et abondant.
Si tu arrêtes d’écouter ton mental…
Et que tu écoutes juste la vie qui bat en toi (comme le dit la chanson)…
Tu ressentiras cette complétude et ce désir sincère de vouloir être tout.
Désirer l’abondance ce n’est pas un désir de manque. C’est l’abondance elle-même qui se désir dans la forme.
C’est l’abondance que tu es qui veut se vivre dans l’expérience.
Désirer l’abondance c’est désirer se connaître, pas en tant que « manque » mais en tant qu’une force qui est à l’œuvre (le donner recevoir) et qui fait marcher le processus de manifestation.
Si tu regardes sous cet angle, il se passe deux choses :
1/ Tu sors du petit personnage qui manque et tu deviens toi, c’est-à-dire l’abondance, la vie, l’amour, etc.
2/ Tu sors de la culpabilité. Tu arrêtes de te dire « zut, en voulant plus d’argent, c’est en fait le manque que je déclare et je vais du coup créer encore plus de manque ».
Donc…
Laisse cette abondance se manifester en toi.
Elle est toute légitime car tu es l’abondance par ta nature.
Lâche les pensées et là, maintenant, écoute juste ton corps vibrant de vie et de lumière.
Là sont la vérité et le bonheur.
C’est subtil, au début peut-être pas facile à « ressentir ».
Mais c’est bien là que tu trouveras le plus de paix et d’amour.
Amicalement,
Laurent
C'est toujours un plaisir renouvelé de vous lire. Je me retrouve dans vos écrits et c'est si pertinents les sujets que vous abordez que je partage systématiquement pour procurer ce plaisir à des amis qui me font à leur tour un retour favorable des articles que je partage avec eux.
J'admire votre source d'inspiration, et il m'arrive de me poser cette question, à quel moment de la journée, prenez-vous votre temps de repos.
Bonne continuation.
W.
C’est un plaisir d’écrire et de partager. Et du repos, j’en ai. J’essaye de voir ma vie comme des vacances permanentes.