C’est un état qui peut te renfermer dans une spirale de besoin constant de l’autre, de peur de l’abandon.
C’est une quête incessante de validation.
C’est un état qui peut te faire sentir comme si tu étais enchaîné.
Incapable de vivre pleinement sans l’approbation ou la présence de quelqu’un d’autre.
Cet état, je l’ai vécu.
Avant de sortir de cette dépendance affective, la vie peut sembler être un tourbillon d’émotions intenses, de peurs et d’insécurités.
On peut se sentir constamment sur le fil du rasoir, craignant que la moindre petite chose ne fasse s’effondrer notre monde.
On peut avoir l’impression de ne pas être complet sans l’autre, et cette sensation peut nous rendre anxieux et malheureux.
Quand j’ai fini par dépasser la peur de l’abandon…
La vie a pris une toute nouvelle dimension.
On commence à se sentir plus libre, plus en paix avec soi-même.
On commence à comprendre que notre valeur ne dépend pas de quelqu’un d’autre, mais qu’elle réside en nous.
On commence à apprécier notre propre compagnie, à prendre soin de nous, à nous respecter et à nous aimer pour ce que nous sommes.
Sortir de la dépendance affective, c’est comme sortir d’une cage dans laquelle on s’était enfermé.
C’est un voyage vers la liberté, l’autonomie et l’amour de soi. C’est un voyage qui peut être difficile, mais qui en vaut la peine.
Je crois que la première chose à faire si tu te sens dans cette situation…
C’est de le reconnaitre.
Ensuite c’est de croire qu’il est possible de s’en sortir et de décider de s’en sortir.
Faire ce choix demande un peu d’énergie pour aller jusqu’au bout.
Il faut donc se remettre en forme, prendre des vitamines, méditer 10 minutes par jour, bref, prendre soin de soi.
Ensuite c’est d’être capable de l’observer cette dépendance. Comment elle se manifeste et dans quelles circonstances.
Enfin, il faut ensuite changer ses perceptions au plus profond de soi.
C’est l’étape passionnante de ce chemin.
Comprendre et vivre l’amour.
Le gouter, profiter de ses vrais effets (car, je le rappelle, le vrai amour ne fait pas souffrir, c’est impossible.
Avec tout mon amour,
Laurent
